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  • Ecrire pour le plaisir
    Juste comme ça, quelques mots égarés, quelques phrases éparpillées.
    Inscrire ce qu'il en est, ou pas.
    Tant qu'il est trop tard, prendre son temps.
    Marquer au fer rouge sa vie
    La mitrallier de mots volages, sauvages...


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  • Avoir la sensation d'évoluer dans un rêve. Un r^ve éveillé. Déambuler au hasard, marcher, errer sans but.
    Le sentiment étrange que rien n'est réel, se demander si tout va changer lorsque l'on se réveillera. Mais savoir au fond de soi que l'on évolue dans la vrai vie.

    Un rêve étrange, un drôle de songe où tout marche au ralenti, surtout soi-même.

    Et savoir que c'est la réalité, qu'il en faut si peu pour que je bascule. En être effrayée et pourtant émerveillée.


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  • ...

    Le noir... le froid. tristesse paresse.

    Etre et se sentir vide, vidée aussi.

    Le mal. toujours.

    Ne pas savoir qui est soi perdue égarée cogner sur des parois invisibles enfermée un cri qui se répercute inlassablement sur les murs de ma prison, prison dorée, cage empoisonnée. Enchainée par mes pensées, par des pensées, mais sont-elles miennes... pas toutes...

    Vouloir fuir, se fuir. Mais, ne pas pouvoir. Courir, heurter des ombres, des songes, se blesser sur les bords aiguisés de ma douleur

    avoir mal ? ne plus le savoir état second savoir que ce n'est pas "normal"... mais ne plus savoir ce que veux dire aller bien, et souffrir.

    En arriver à un point que la fatigue, la souffrance, n'ont plus de sens.

    Juste le vide, le chaos, seulement le rien, la non-existence.

    Fantôme, pantin... nuit jour jour nuit succession de levés et couchés de soleil que l'on ne voit plus. Juste essayer de se souvenir que ça existe encore, et qu'ils ont une signification essayer de se souvenir que l'on doit se lever, aller en cours... essayer d'avancer, ne pas savoir vraiment où, mais le faire... continuer.

    Tristement, difficilement penser à se détruire, à en finir, parce que à quoi bon puis se dire non, lucidité est encore là oublier, que l'on se déteste que l'on est perdu oublier que la fin est la seule issue faire comme tout le monde, ou plutôt essayer, faire semblant. Ne plus savoir à quoi ça rime frime se haïr, et se le dire parler de soi à la troisième personne, parce que dire je est trop dur parce que, je ne sais plus qui est ce JE, et à quoi je joue. Est-ce que tout ceci n'est qu'un JEU, ou bien non...

     Confondre rêve et réalité. Ne plus savoir ce que l'on imagine, ce que l'on fait vraiment... perdue avoir peur.

    Toujours. savoir que ça ne passera pas. que ça ne peut pas passer comme ça. et en fin de compte, n'en avoir plus rien à foutre. Préférer continuer à s'enfoncer. ou plutôt, ne pas pouvoir faire autrement, préférer ignorer ce que l'on sait, se dire que c'est juste la fatigue, et rien d'autre.. se mentir, parce que c'est tout se qu'il me reste, de beaux mensonges emballés dans du papiers dorées, des rêves ébréchés... se sentir morcelé tout et rien tiraillée de tout les cotés perdue égarée la réalité fait trop mal, préférer encore faire semblant de croire en de beaux mensonges...

    "JE VAIS BIEN, ne t'en fais pas.", essayer de s'en convaincre, de convaincre les autres... du vent... la vie qui file entre mes doigts qui se renferment sur rien.

    parce qu'essayez de retenir du vide,

    rien.


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  • La douleur interne qui ne passe pas.

    Sourde, elle se répend dans tout mon corps, s'insinuant partout...

    Le mal qui me ronge. Le vide. Et le vertige qui me prend à la gorge. Souffrance invisible. Indiscible.

    Que faire mis à part combattre. Se battre soi-même. Perdu d'avance. Avancer sans y arriver. Juste errer. Se sentir ailleurs. Agressé par l'extérieur. Mal. C'est violent, ça nous prend comme ça, sans prévenir, sans nous le dire. Autour tout se brouille, le trou noir, des sons qui arrivent, des bruits qui font peur, les gens, étrangers, différents, incomprennable.

    Figée, avoir du mal à respirer, bloquer, sur le café qui reste au fond de la tasse, sur la tâche qui a sur le mur, ou bien au sol... faire des efforts désepérés pour réussir à garder son attention sur un cours insipide, en soi presque qu'intéressant, écrire automatiquement, l'oublier dès que l'on sort de la salle.

    Ca fait mal, lorsque l'on se rend compte que ce qui devrait être "normal" ne l'est plus, que l'on part, et douter du pouvoir revenir. Mal. La rage. Vouloir se réveiller, sortir de cette torpeur dans des moments d'accalmie, mais ne rien pouvoir en faire...

    Alors se détruire, consciencieusement, parce qu'il n'y a plus que ça à faire...

    Souffrir, se faire souffrir, ne pas savoir pourquoi... Juste trois mots qui tournent en boucle, je veux crever... ça fait peur...

    Vouloir pleurer, sécheresse occulaire. Mal.... si mal... Perdue... Vide... désespérée...


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