• Arrêt momemtané de mes élucubrations débiles, plus d'accès au net, plus d'ordi tout les jours, plus rien...

    Juste l'ennui mortel des journées trop longues.

    L'angoisse tenace qui part pas malgrè les médocs.

    Les pensées qui partent toujours dans tous les sens...

    Et moi qui n'arrive toujours pas à leur dire, ce qui ne va pas....

    Bref...


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  • ...

    Ne plus savoir quoi faire....

    Se perdre un peu plus chaque jours.

    Entre les gens qui me disent "tu vas mieux qu'hier", mais bien sur, c'est pour ça que j'ai passé la journée prostrée à trembler....

    Aller mieux, ça en devient utopique.

    Puis à quoi bon.

    Comment expliquer, l'inexpliquable.

    Ne plus avoir quoi faire.... n'être même pas capable d'appuyer un peu trop fort sur cette foutue lame, ni même avaler la boîte de médocs... Errer, se trainer...

    A quoi bon, pourquoi ?

    Tout est vain.

    Et cette rengaine, c'est à toi de décider. Mais de décision, il n'en ai plus question. OK je suis majeure, mais je peux pas faire ce pas. Je voudrai bien, mais je n'y arrive pas. Peur que l'on se foute de ma gueule, peur qu'au contraire l'on me prenne trop au sérieux.

    Etre bien nulle part, parce que tout simplement, l'on est partout avec soi-même. Or, la seule chose que je veux fuir c'est moi, moi mes pensées obsédantes, dérangeantes.... Moi, mon vide et mon chaos. Je suis fragmentée de l'intérieur, incapable de parler, et encore, depuis une semaine, j'ai plus parler que jamais... pourtant, rien de ce qui devrait sortir ne sort. Parce que, je ne peux pas, elle ne veux pas.

    Comme je voudrai pouvoir hurler, appeler à l'aide, péter un plomb pour de bon, mais non, je me mure dans le silence, de ma démence.

    Alors quoi maintenant. Puisque tout ça est vain, je fais quoi ?....

    Me remettre à faire semblant, sourire, porter le masque encore et encore.... je suis détruite de l'intérieur, putréfraction de mon âme. Essayer de vivre, continuer à dire non alors que de tout mon être j'appelle à l'aide, mais oui j'oubliais, c'est à moi de décider....

    Bordel. Je sais pas demander de l'aide, je préfère me détruire, vous réagirez à ma palce... je sais bien comment ça va se finir, tôt ou tard, perso je préférerai tôt, enfermée, entre quatre murs blancs, paut-être que là, j'y arriverai à parler....

    Elucubration désordonnée, pathétique d'une pauvre fille de vingt ans qui fout sa vie en l'air, c'est joyeux tout ça....


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  • Bordel de putain de merde.

    Pourquoi, pourquoi je n'arrive pas à parler.

    Pourquoi.

    Anxiolitique de merde qui ne changent rien à mon état.

    Toubib qui me conseille comme tout le monde d'aller voir un psy.

    Larmes de tout les cotés ce week-end.

    Tout juste capable de leur dire que j'ai envie de me balancer.

    Personne qui ne sait comme réagir réellement.

    Consentement forcé pour aller voir la doc, qui me prescrit juste des anxio (avec ça, la ts serait ratée d'office)

    Aidez moi....

    Je ne sais pas comment.

    Je refuse tout, tout en voulant qu'ne chose dire oui.

    Incapble de prendre une décision, trop grande pour que ce soit les autres qui la prenne à ma place...

    Une semaine de repos génial, en plus de cogiter et de badder la nuit, j'ai la journée pour moi toute seule et les prises de tête avec ma mère... ça va être joyeux tout ça...

    Je vais péter un cable pour de bon.

    Pourquoi je n'ai pas été capable de parler du chaos qui règne dans mon esprit, du vide qu'il y a en moi, de cette souffrance diffuse qui répend son venin, de ces pensées parasites, de cette impression de ne pas tout gérer, de cette façon que j'ai de ne plus savoir ce que veux dire être bien, que je ne sais d'ailleurs plus ce que veux dire être mal... de cette impression que tout est faux, de mon irréealité, de ce monde dans lequel je perds pied.

    Pourquoi je ne peux pas prendre de décision par moi même... consentement forcé à la rigueur, on peut faire de moi ce que l'on veut tant que l'on ne me demande pas de décider... j'accepte sans broncher...

    outez moi la paix, laissez moi me détruire... pourquoi je répète ça, alors que ce que je veux dire c'est s'il vous plaît aidez moi, trainez moi de force s'il le faut voir un psy, hospiotalisez moi si c'est la seule solution, mais faite taire ce bordel qui est en moi...

    Je suis bien nulle part, pour la simple raison que je suis toujours avec moi...

    Je ne me supporte plus... détruit mes proches par mon attitude... oscillant entre mutisme et rébelllion, merde, j'ai plus l'âge de faire ma crise d'ado... help... faite encore quelque chose...

    Je vais craquer à rester ici une semaine, seule la journée, engueulade le soir, seule la nuit... Même pas ensuquée par ces putain d'anxiol... Au moins quand jsuis à a fac, je badde pas trop la journée, ici par contre jsuis seule, et puis là-bas, y'a les soirées entre potes, alors même si ça me déprime parce que je ne me sens pas à ma place, c'est que tard le soir que je suis vraiment mal... là c'est 24h/24....

    Enfin, je verrai bien ce que ça va donner....


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  • ...

    Le noir... le froid. tristesse paresse.

    Etre et se sentir vide, vidée aussi.

    Le mal. toujours.

    Ne pas savoir qui est soi perdue égarée cogner sur des parois invisibles enfermée un cri qui se répercute inlassablement sur les murs de ma prison, prison dorée, cage empoisonnée. Enchainée par mes pensées, par des pensées, mais sont-elles miennes... pas toutes...

    Vouloir fuir, se fuir. Mais, ne pas pouvoir. Courir, heurter des ombres, des songes, se blesser sur les bords aiguisés de ma douleur

    avoir mal ? ne plus le savoir état second savoir que ce n'est pas "normal"... mais ne plus savoir ce que veux dire aller bien, et souffrir.

    En arriver à un point que la fatigue, la souffrance, n'ont plus de sens.

    Juste le vide, le chaos, seulement le rien, la non-existence.

    Fantôme, pantin... nuit jour jour nuit succession de levés et couchés de soleil que l'on ne voit plus. Juste essayer de se souvenir que ça existe encore, et qu'ils ont une signification essayer de se souvenir que l'on doit se lever, aller en cours... essayer d'avancer, ne pas savoir vraiment où, mais le faire... continuer.

    Tristement, difficilement penser à se détruire, à en finir, parce que à quoi bon puis se dire non, lucidité est encore là oublier, que l'on se déteste que l'on est perdu oublier que la fin est la seule issue faire comme tout le monde, ou plutôt essayer, faire semblant. Ne plus savoir à quoi ça rime frime se haïr, et se le dire parler de soi à la troisième personne, parce que dire je est trop dur parce que, je ne sais plus qui est ce JE, et à quoi je joue. Est-ce que tout ceci n'est qu'un JEU, ou bien non...

     Confondre rêve et réalité. Ne plus savoir ce que l'on imagine, ce que l'on fait vraiment... perdue avoir peur.

    Toujours. savoir que ça ne passera pas. que ça ne peut pas passer comme ça. et en fin de compte, n'en avoir plus rien à foutre. Préférer continuer à s'enfoncer. ou plutôt, ne pas pouvoir faire autrement, préférer ignorer ce que l'on sait, se dire que c'est juste la fatigue, et rien d'autre.. se mentir, parce que c'est tout se qu'il me reste, de beaux mensonges emballés dans du papiers dorées, des rêves ébréchés... se sentir morcelé tout et rien tiraillée de tout les cotés perdue égarée la réalité fait trop mal, préférer encore faire semblant de croire en de beaux mensonges...

    "JE VAIS BIEN, ne t'en fais pas.", essayer de s'en convaincre, de convaincre les autres... du vent... la vie qui file entre mes doigts qui se renferment sur rien.

    parce qu'essayez de retenir du vide,

    rien.


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  • La douleur interne qui ne passe pas.

    Sourde, elle se répend dans tout mon corps, s'insinuant partout...

    Le mal qui me ronge. Le vide. Et le vertige qui me prend à la gorge. Souffrance invisible. Indiscible.

    Que faire mis à part combattre. Se battre soi-même. Perdu d'avance. Avancer sans y arriver. Juste errer. Se sentir ailleurs. Agressé par l'extérieur. Mal. C'est violent, ça nous prend comme ça, sans prévenir, sans nous le dire. Autour tout se brouille, le trou noir, des sons qui arrivent, des bruits qui font peur, les gens, étrangers, différents, incomprennable.

    Figée, avoir du mal à respirer, bloquer, sur le café qui reste au fond de la tasse, sur la tâche qui a sur le mur, ou bien au sol... faire des efforts désepérés pour réussir à garder son attention sur un cours insipide, en soi presque qu'intéressant, écrire automatiquement, l'oublier dès que l'on sort de la salle.

    Ca fait mal, lorsque l'on se rend compte que ce qui devrait être "normal" ne l'est plus, que l'on part, et douter du pouvoir revenir. Mal. La rage. Vouloir se réveiller, sortir de cette torpeur dans des moments d'accalmie, mais ne rien pouvoir en faire...

    Alors se détruire, consciencieusement, parce qu'il n'y a plus que ça à faire...

    Souffrir, se faire souffrir, ne pas savoir pourquoi... Juste trois mots qui tournent en boucle, je veux crever... ça fait peur...

    Vouloir pleurer, sécheresse occulaire. Mal.... si mal... Perdue... Vide... désespérée...


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